Les températures remontent et l’été s’installe enfin sur notre territoire. Il est donc temps de ressortir les leurres de surface. Vous pensez bien qu’à ce petit jeu, je n’ai pas besoin de me faire prier… En tout cas, le G-Splash de chez Lucky Craft a encore fait des siennes !
L’histoire remonte à quelques jours seulement. C’était un après-midi où les températures étaient importantes. J’étais en train d’arpenter des postes connus du côté de Toulouse en me protégeant du soleil. L’étang était magnifique avec une rive bordée par de nombreux glaïeuls. Il ne me restait plus qu’à leurrer quelques poissons pour que la journée soit parfaite. Tout d’un coup, j’ai aperçu un joli black-bass nageait tranquillement au milieu de l’étang, comme s’il en était le poisson dominant. Sans perdre un instant, j’ai alors lancé mon popper G-Splash (coloris Shell White) dans sa direction puis j’ai attendu qu’il s’approche pour réaliser un premier ‘splash’. Sans prendre la peine de s’offrir la moindre seconde de réflexion le poisson s’est jeté sur le leurre avec une agressivité étonnante. Après un combat mémorable, je l’ai rapidement pris en photo puis remis à l’eau le plus rapidement possible. En effet, avec une telle température, le poisson ne résiste pas bien longtemps. Il est donc important de le manipuler rapidement et avec la plus grande précaution avant de lui rendre sa liberté.
Le G-Splash est un petit popper très efficace qui peut tout aussi bien s’utiliser du bord comme en bateau. Donnez des coups de scion plus ou moins prononcés suivant la sonorité que vous recherchez en surface. Par ailleurs, en donnant de légers coups de scion et en le récupérant de manière régulière, le leurre évolue en walking the dog. N’hésitez pas à entrecouper votre animation en marquant des pauses de temps à autre. C’est généralement lorsque vous souhaitez redémarrer votre récupération que le carnassier en profite pour s’emparer de votre leurre.
David Mailland.
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Parmi les leurres qu’il faut impérativement avoir dans sa boîte, le Redemption compte effectivement parmi les incontournables. Ce spinnerbait très efficace m’a permis de bien débuter ma saison sereinement !
Comme chaque année, j’ai fait mon ouverture dans une succession de lacs à brochets situés aux alentours de Toulouse. Inutile de vous préciser que la pêche a été délicate. En effet, les premières semaines qui suivent l’ouverture sont généralement assez difficiles mais les choses se mettent en place ensuite assez rapidement. Pour cette ouverture dans les eaux très claires et sous un soleil bien présent, j’ai décidé d’aller pêcher les brochets mais de manière plus discrète que d’habitude. En effet, cette fois-ci j’avais remplacé le bas de ligne en acier par un bas de ligne en fluorocarbone. J’ai également choisi de miser sur le fameux spinner Redemption 3/8oz de chez Lucky Craft en utilisant plus précisément le coloris mythique Aurora Black. Je trouve effectivement que la finition de ce spinnerbait est vraiment très réaliste. Bref, un modèle très intéressant qui a de quoi faire craquer les brochets les plus récalcitrants.
Une fois encore, j’ai été récompensé par la capture en eau peu profonde de quelques petits brochets qui étaient embusqués sous les herbiers. Mon bas de ligne n’a jamais été coupé mais je dois vous avouer que j’ai du changer mon bas de ligne régulièrement car les dents des brochets sont aussi tranchantes que des lames de rasoir. Ce leurre m’a encore permis de réaliser une ouverture très correcte.
D’une manière plus générale, je pêche avec le spinner Redemption (Lucky Craft) pour prospecter efficacement les zones peu profondes (sous la surface à 2 m de fond) et lorsque les poissons sont tatillons. Je vous recommande aussi tout particulièrement le Redemption 1/4oz pour pêcher les perches.
David Mailland.
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S’il y a bien un type de leurre dur que j’aime utiliser lorsque les eaux sont froides c’est bien le crankbait. Les leurres à bavette assez dodus sont souvent du meilleur effet. J’en ai d’ailleurs encore fait l’expérience récemment. La preuve !
Toulouse est une superbe ville où les petits lacs urbains ne sont pas rares. Ces derniers sont généralement très fréquentés en été mais beaucoup moins lors de la période hivernale. Ces lieux très fréquentés se transforment presque en véritable désert. Je pêche fréquemment dans ces petits lacs qui peuvent réserver parfois de bien belles surprises. Compte tenu que la profondeur est comprise entre 1,5 m et 2 m, j’utilise soit un crankbait soit un jerkbait. Récemment, j’avais décidé de prospecter ces petits lacs avec un Fat CB DR avec ma canne en fibre de verre Lucky Craft 701 MH BDS, spécialement conçue pour pêcher avec des petits cranks. Après quelques lancers, j’ai réussi à enregistrer une jolie touche mais malheureusement, je n’ai pas réussi à la concrétiser. Je pense que la vitesse à laquelle je récupérais le leurre était trop élevée pour la saison. En effet, lorsque les eaux sont froides, il vaut mieux privilégier les récupérations plus lentes voire même marquer des pauses un peu plus longues qu’à l’accoutumée. J’ai alors décidé de ralentir le rythme de ma récupération et de peigner plus lentement le petit lac. Ce choix a finit par porter ses fruit notamment grâce à la capture de ce très joli brochet qui est venu couronner cette belle partie de pêche. Le Fat CB DR a encore fait des siennes. C’est d’ailleurs pour cette raison que ce leurre ne quitte jamais ma sélection de leurres préférés !
David Mailland.
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Allez, c’est bientôt les fêtes et j’ai pensé que vous relater une petite anecdote atypique pouvait changer de d’habitude. Place à une petite histoire qui vous est peut-être arrivée mais que j’avais envie de vous faire partager.
C’était une belle journée d’été et j’étais bien décidé à rechercher les perches avec mes lames vibrantes (Spinboard 55H – coloris rose). Les belles zébrées s’étaient montrées plutôt coopératives mais aucune d’entre elles n’étaient de taille suffisante pour mériter une belle photo. Toutefois, lors de mon dernier lancer, je ne m’attendais pas du tout à attraper un tel poisson. Alors que j’étais en train de récupérer ma lame vibrante lentement en la faisant évoluer à proximité du fond, j’ai ressenti un impact violent à une dizaine de mètres du bord et j’ai immédiatement ferré. Le combat a duré de pendant de très longues minutes, avant que je ne puisse ramener cette très grosse tanche. Une sacrée surprise car ce n’est pas le type de poisson qu’on a l’habitude d’attraper lorsqu’on pêche au leurre. Une première pour ma part ! Cela faisait longtemps que je rêvai d’en attraper une tant les couleurs de ce poissons sont splendides. Je dois avouer qu’il y a longtemps que je rêvais d’en capturer une, car les couleurs de ce poisson sont tout simplement magnifiques. La pêche réserve souvent de belles surprises et c’est d’ailleurs ce qui fait tout le charme de notre passion favorite !
David Mailland.
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Le Spinner RV 120 est un leurre incontournable. J’ai encore eu l’occasion de le tester très récemment lors de quelques petites escapades en Savoie, sur le lac du Bourget. Ce leurre a une fois encore démontré toute son efficacité !
Chaque année j’ai l’occasion de rentrer me ressourcer en Savoie entre deux voyages au bout du monde. L’un des meilleurs moments du séjour, c’est lorsque je retourne le long des berges tranquilles du lac du Bourget, armé d’un spinner RV120 et de mon appareil photo pour tenter de leurrer quelques brochets. Chaque année, je suis surpris du nombre d’attaques que mon spinner peut déclencher. J’ai même l’impression qu’elles sont de plus en plus nombreuses, signe de la bonne santé des brochets qui se trouvent dans le lac.
Lors de ma première sortie, j’ai par exemple assisté en direct (grâce aux eaux de grande qualité, pures et claires arrivant tout droit des montagnes) à une dizaine d’attaques ‘éclairs’ pour 4 poissons sortis. Je manquerai le plus gros que j’estime à environ 60/65cm. Rien d’exceptionnel mais le plaisir de capturer et relâcher ces beaux poissons est bel et bien là.
Les attaques sont toujours très surprenantes et difficiles à ferrer. Au fil du temps, j’ai acquis la conviction que les brochets du Bourget attaquaient différemment que leurs confrères du Sud-ouest, souvent sur le côté, sans se piquer (ils sont vraiment très très forts pour ça en Savoie) et faisant preuve d’une rapidité et d’une hargne hors du commun. La pêche dans les ports du Bourget est un régal car on peut suivre son malheureux RV coloris Ayu qui semble tellement vulnérable lorsqu’il passe en frétillant au travers des sombres herbiers remplis d’impitoyables prédateurs.
Pour vos sessions au Bourget en Streetfishing®, je vous recommande un RV120 (j’ai pas mal d’attaques sans trailer), et un bas de ligne en fluoro épais si vous voulez tenter les grosses perches qui évoluent sous les bateaux. Voici en tout en cas une vraie valeur sûre que vous devez impérativement avoir dans votre boîte !
David Mailland
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Laissez-moi vous présenter ce leurre qui fera des merveilles lors de vos parties de pêche ! Un indispensable à posséder dans votre boîte à leurres.
Récemment, je suis retourné pêcher le black-bass, et j’ai donc décidé d’utiliser un Bevy Crank 45DR. Je me suis procuré ce leurre au Japon, et j’avais choisi le coloris Clear qui me semblait être le plus adapté à mon type de pêche. J’ai beaucoup apprécié ce crankbait qui bénéficie d’une toute petite taille, mais d’une très grande performance. Son efficacité sur les bass a été surprenante !
En guise de technique de pêche, je me suis contenté de le lancer le plus loin possible, et de l’animer tranquillement ensuite au-dessus des herbiers. Un joli black-bass n’a pas pu résister à ce leurre extrêmement bien réalisé, et il n’a pas perdu de temps pour s’en saisir.
Afin qu’il atteigne la profondeur de nage pour laquelle il est conçu, ne choisissez pas le même équipement que moi, mais utilisez la tresse la plus fine possible. En effet, votre Bevy Crank atteindra des profondeurs plus importantes. Grâce à ce leurre très efficace, je m’attends maintenant à faire fureur auprès des perches ! Affaire à suivre donc !
David Mailland
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Pas toujours facile de savoir comment bien utiliser un leurre. Le jour où l’on pense avoir tout compris, on découvre encore de nouvelles petites choses qui permettent de mieux l’utiliser. Le LL Pointer 170 est un excellent poisson-nageur et je vous conseille vivement d’en avoir quelques-uns dans votre boîte. Lorsqu’il faut cibler les gros poissons, le LL Pointer 170 n’est pas le dernier de la classe, loin de là !
Avec ses 17 cm et ses 53 g, le LL Pointer 170 peut en impressionner plus d’un ! Toutefois, ce leurre est très simple à utiliser. En réalisant un simple lancer-ramener, ce leurre ne passera pas inaperçu, notamment grâce à sa nage très serrée. Je vous conseille aussi de le « violenter » un peu en effectuant des jerks plus secs pour donner plus d’amplitude à sa nage. En octobre dernier, l’eau était assez teintée et je recherchais principalement les beaux brochets en grand lac. Mais, à ce petit jeu, personne n’est jamais certain du résultat. Toutefois, pour mettre toutes les chances de son côté, il est important de s’en donner les moyens et d’utiliser un leurre de taille conséquente. C’est en tout cas ce que j’ai fait en choisissant le LL Pointer 170. J’ai opté pour la version Super Sinking, un peu plus lourde car le lac est assez profond sur la zone que j’avais préalablement repérée. Il m’a seulement suffi de ramener le leurre lentement en linéaire au-dessus des branches pour déclencher une grosse attaque. Une vraie mine ! Au bout d’un combat assez musclé, j’ai réussi à sortir de l’eau un joli bec qui est retourné dans son milieu naturel après quelques photos. L’objectif de la journée était atteint !
Si vous ne connaissez pas encore ce leurre, je vous recommande vivement de le tester. Avis à tous les amateurs de sensations fortes !
David Mailland.
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Avec Les conditions climatiques difficiles de ce début de saison, pas facile de tirer son épingle du jeu au bord de l’eau. Retour sur ma session d’ouverture où les carnassiers se sont montrés plutôt timides. Toutefois, les leurres Lucky Craft et plus particulièrement le spinner Redemption m’ont permis de leurrer un joli bec !
Avec les fortes pluies qui sont tombées partout en France, les occasions de se rendre au bord de l’eau ont été plutôt rares. Il faut dire que les niveaux sont restés longtemps très hauts et que la couleur de l’eau assez teintée n’est pas idéale pour réussir une belle partie de pêche. De mon côté, j’ai fait l’ouverture de la pêche du carnassier aux alentours de la ville rose (Toulouse). Après avoir arpenté un lac bien connu pour ses gros brochets durant plusieurs heures, j’ai finalement réussi à leurrer un joli brochet. Ayant plutôt l’habitude de pêcher au jerk ou au crank, j’ai dû cette fois-ci sortir un Spinnerbait Redemption (Lucky Craft) pour enfin réussir à décapoter. Pour ne rien vous cacher, le brochet s’y est pris à deux reprises lors du même lancer.
Tout d’abord, il s’est emparé du Spinnerbait Redemption bien à plat. J’ai continué à ramener et j’ai réussi à déclencher une autre attaque de sa part, plusieurs mètres plus loin avant de le sortir avec autorité. Avec ce spinnerbait, j’ai surtout prospecté les abords des différentes structures en insistant surtout autour des troncs d’arbres immergés. Malgré cette journée ensoleillée, un seul et unique poisson a bien voulu montrer le bout de son bec. Jai toutefois eu le plaisir de voir quelques black-bass préparer activement la fraie. Espérons que les conditions s’améliorent rapidement ! En tout cas, une chose est certaine, c’est que le Spinnerbait Redemption Lucky Craft m’a été d’une aide très précieuse !
A très bientôt pour de nouvelles aventures.
David Mailland.
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Lorsque je pars en voyage, je m’interroge longuement sur le choix des leurres qui auront le privilège de se faire déchiqueter par les quenottes acérées des plus impitoyables espèces tropicales. Sur les conseils avisés de quelques voyageurs expérimentés, je me suis équipé essentiellement en leurres Lucky Craft puis j’ai complété avec les grands classiques de l’Amazonie (Woodchopper…)
« Nous avons pêché le Rio Padauri, un affluent du Rio Negro en février dernier. Le niveau d’eau était déjà bien plus remonté et nous avons eu de nombreuses pluies. J’ai constaté avec beaucoup de plaisir que les leurres Lucky Craft étaient vraiment redoutables sur les peacocks. Je conseille d’ailleurs vivement à chaque pêcheur qui se rend en Amazonie de prendre avec lui les leurres durs qu’il utilise en France. En revanche, vous pouvez tout de suite laisser sur place les leurres souples et les spinnerbaits car les piranhas vont les réduire en miettes.
Nous avons parfois travaillé en équipe et Ian-Arthur. Ce dernier utilisait son Woodchopper, un leurre qui émet une sonorité bien particulière et qui attire les gros peacocks. Pour obtenir des résultats probants, ce leurre doit vraiment être animé à la perfection pour obtenir la sonorité recherchée, ce qui requiert d’ailleurs une certaine endurance. De mon côté, j’ai utilisé principalement des jerks tels le Flashminnow 130MR, le B’Freeze 128SP ou le B’Freeze 100SP.
Si vous souhaitez mettre toutes les chances de votre côté, la technique est la suivante :
Lancez le plus près possible de la bordure et faites quelques twitchs secs mais sans ramener trop rapidement le leurre de manière à laisser le temps aux peacocks de bien voir le leurre. Puis ramenez à fond jusqu’au bateau. C’est ce schéma de pêche qui est appliqué à 90% du temps. Pour toutes ces phases, les jerks Lucky Craft se sont avérés parfaits. En effet, le fait de les twitcher les rend encore plus attractifs et ils ne décrochent pas lorsqu’on les ramène rapidement au bateau. Il s’agit d’un point très important. Il est même primordial de s’assurer que tous les leurres que l’on emmène au Brésil peuvent être ramenés très rapidement sans décrocher. C’est loin d’être le cas de tous les leurres et nous n’avons pas l’habitude de tester ce point en France. Enfin, je dois mon plus gros tucunaré (ainsi qu’un Arowana dont je suis très fier) au Sammy 128.
Lucky Craft assure la distribution de la marque Optimum Baits, des leurres souples très efficaces qui viennent judicieusement compléter notre large gamme de leurres durs haut de gamme. David Mailland est un excellent pêcheur qui n’hésite pas à parcourir le monde pour pratiquer sa passion. Aujourd’hui, il nous propose de nous faire un petit rapport complet sur un excellent swimbait : l’Original Optimum. Comme vous allez pouvoir le constater, c’est du lourd !
« J’ai découvert ce leurre en 2011 et j’ai très rapidement été complètement conquis par sa nage fantastique et son beau rolling bien prononcé grâce à une queue surdimensionnée et qui a la faculté de déplacer un bon volume d’eau. J’utilise systématiquement l’Original Optimum pour pêcher les cassures et débusquer les brochets en ramenant lentement le leurre. Ce modèle m’a permis d’obtenir de très bons résultats mais je dois avouer que j’ai un petit faible pour celui de plus grande taille (7’’). Il existe aussi un 8’’ mais cette taille n’est pas disponible en France. Rassurez-vous, celui de 7’’ est absolument parfait pour traquer les très gros brochets. Lors de mes différents tests, j’ai aussi constaté que le leurre est parfaitement équilibré et que sa nage est vraiment parfaite, et ce, quelque soit la vitesse de récupération.
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