Réussir l’ouverture des carnassiers

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 12:20 pm April 29, 2015

Plus que deux petites semaines à patienter avant de pouvoir enfin taquiner à nouveau nos chers carnassiers. Je vous avoue que pour ma part, la période de fermeture a été longue et je trépigne déjà d’impatience. J’essaie donc de mettre à profit ces derniers jours d’attente pour être fin prêt et maximiser mes chances de réussite le jour J.

Avant toute chose, vous pouvez être fin prêt et avoir tous les leurres possibles et imaginables, le plus important selon moi est de bien choisir sa zone de pêche et les carnassiers que vous allez cibler. Je vous recommande donc de marcher au bord de l’eau pour aller faire du repérage.

Pour bien choisir son secteur, il faut connaitre les différentes profondeurs d’eau, la turbidité, la température et les débits en rivière. N’hésitez pas à y aller plusieurs fois plutôt que de partir à l’aveuglette. En prenant bien le temps d’observer, vous allez vous faire une idée plus précise du parcours que vous allez pêcher. Vous pourrez aussi très certainement glaner çà et là différentes informations qui pourront vous être très utilises. Cela peut aussi vous renseigner également sur la présence éventuelle d’alevins ou de poissons blancs sur la zone.

En rivière
Les perches sont en général peu actives à l’ouverture sur mes secteurs. Je vais donc en tenir compte même si chaque année la pêche réalisée vient contredire mes idées reçues et certitudes. Une chose est sûre, c’est qu’à la pêche, il vaut mieux éviter d’avoir des certitudes… Si les niveaux sont bas et que l’eau est plutôt claire, je vais très certainement axer ma pêche sur celle des brochets et des chevesnes. Ces deux espèces restent très actives lorsque les eaux sont encore froides. En revanche, si celle-ci est teintée et haute, je vais alors tout miser sur la pêche du sandre et du silure en utilisant les Opti Shad 4”. Pour ce qui concerne les sandres, merci de toujours bien garder à l’esprit que la fraye peut être tardive. Si vous tombez sur des secteurs sont les sandres sont encore charbonniers, je vous demande alors de les laisser se reproduire en paix. Vos pêches futures en dépendent !

En étang ou en lac
Lorsque mon choix se porte sur un plan d’eau, je mise presque tout sur la pêche du brochet. Comme ils ont fini de frayer depuis longtemps, ils restent très actifs. Je vous conseille alors vivement de penser aux leurres réaction comme le LV RTO 250 qui vous permettra de prospecter de battre rapidement un maximum de terrain. Le Pointer 100SP fera aussi parti de mes leurres incontournables pour l’ouverture. C’est incontestablement une valeur sûre !

Le matériel
Il s’agit là aussi d’un point très important qu’il ne faudra pas négliger. Hors de question de me rendre compte le matin de l’ouverture qu’il manque des références indispensables dans mes boites ou encore que la tresse de mon moulinet fétiche est passablement usée. Il vous reste du temps d’ici l’ouverture, profitez-en pour que tout soit parfait. Pensez également à l’ensemble du petit matériel comme par exemple vos agrafes, les plombs drop, etc…

Lorsque je pratique à partir du bord, j’aime ne pas trop me surcharger. J’emmène toujours avec moi deux cannes : la Funk Star qui est vraiment très efficace sur les pêches « ultra light » et la Shaky Head pour les pêches un peu plus musclées. Ces deux cannes me permettent ainsi de pratiquer des pêches différentes. La Shaky Head est, en effet, plus adaptée pour toutes les pêches dites à gratter.

Avant de terminer, je vous recommande aussi de toujours avoir une solution de repli. Par exemple, si vous avez prévu de pêcher en rivière et que les trois jours qui précèdent l’ouverture sont très pluvieux rendant la pêche en rivière impraticable, prévoyez une « issue de secours ». Idem, si le matin de l’ouverture, vous vous rendez compte que votre poste fétiche est pris d’assaut par les pêcheurs, n’hésitez pas à vous retrancher dans un endroit plus calme.

Je vous souhaite à toutes et tous une excellente ouverture.

Raphaël Becker.

Ouverture 2015 : Pas si facile que ça !

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 11:54 am April 27, 2015

Comme tous les ans, j’ai beaucoup de plaisir à faire l’ouverture de la pêche de la truite en compagnie de mon ami Jeff. Cette année encore, nous nous sommes rendus entre les départements de la Corrèze et de la Haute Vienne. Une journée mémorable mais assez technique !

L’ouverture de la pêche de la truite est toujours un rendez-vous un peu particulier dans l’agenda d’un pêcheur. Outre le fait de ressortir les cannes et l’ensemble du matériel, c’est aussi une excellente occasion de faire des rencontres au bord de l’eau avec d’autres passionnés et d’échanger avec un grand nombre. Amateur de la pêche de la truite en petite rivière, nous nous sommes donné rendez-vous avec mon ami Jeff sur les bords d’une petite rivière.

Inutile de vous dire que j’ai décidé de commencer à pêcher avec le fameux Spinner Area’s. En moins d’une minute de pêche, j’ai enregistré ma première touche de la journée que j’ai d’ailleurs décrochée. Quelques méandres plus loin, j’ai mias au sec ma première truite de l’année, une belle truite arc en ciel de 28 cm. // Compte tenu qu’il y avait eu un lâcher sur cette portion de rivière, j’ai alors opté pour le Pointer 48SP (coloris Pearl Goujon). Ce dernier m’a permis de mettre au sec la première fario de l’année. La matinée fut assez difficile car j’ai décroché beaucoup de poissons. Comme j’avais remplacé les hameçons triples par un hameçon simple de manière à relâcher les poissons dans de bonnes conditions, j’ai eu pas mal de rater. Mais peu importe, le plus important étant de déclencher les touches.

Pour la 2e partie de la journée, nous avons décidé de changer de coin pour aller sur un cours différent. Comme il y a avait des zones un peu plus profondes avec quelques fosses, j’ai alors opté pour un Bevy Shad 50SP (coloris Ghost Vairon). Ce leurre m’a d’ailleurs permis de pêcher une fario ainsi que deux truites arc-en ciel.

A cours de cette journée, nous avons réussi à pêcher 8 truites (4 farios et 4 arcs en ciel). Une ouverture assez compliquée mais qui a, une fois encore, permis de mettre en évidence que certains leurres restent incontestablement des valeurs sûres.

Jérôme Giraud

Exploitez au mieux le Wander !

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 11:35 am April 22, 2015

Incontournable de la gamme Lucky Craft, le Wander est un de mes leurres fétiches qui associe judicieusement toutes les qualités d’un leurre moderne. Il est accessible aux débutants et permet aux plus chevronnés d’exprimer tout leur talent et leur technique.

Le Wander compte incontestablement parmi les valeurs sûres chez Lucky Craft. Pourtant de nombreux pêcheurs sont déroutés face à ce leurre sans bavette et se demandent comment l’animer. Voici donc un tour d’horizon non exhaustif des animations possibles avec ce leurre. Que ce soit par plaisir ou pour son efficacité, il serait dommage de s’en passer !

Présentation de toutes les façons de l’animer

  • Le linéaire lent : le plus simple et pourtant si efficace ! Lancez et ramenez simplement au moulinet. Le Wander se désaxe de manière imperceptible de gauche à droite. A l’œil, cette nage parait peu attractive et pourtant, croyez-moi, les poissons adorent. C’est mon animation préférée avec les tailles 45 et 60, notamment lorsqu’il s’agit de pêcher les chevesnes difficiles.
  • Le linéaire rapide : le leurre se désaxe de manière plus prononcée et plus près de la surface. Cette action provoque souvent des attaques réflexes en passant à proximité des structures comme les piles de pont par exemple.
  • Le linéaire lent avec quelques petits twitchs : pendant votre récupération linéaire, donnez de petits coups de scion. Chaque impulsion provoque un décrochage du leurre et des mouvements erratiques : idéal pour décider un poisson suiveur, c’est en général la première animation que j’utilise quand je monte un Wander.
  • Linéaire et jerks : cette fois-ci les coups de scions sont plus prononcés et de plus grande amplitude. La nage du leurre devient totalement désordonnée. Cette animation se montre efficace dans deux situations : soit lorsque les poissons chassent et sont très agressifs, soit au contraire lorsque les poissons sont apathiques et ne veulent rien savoir. Dans ce dernier cas de figure les jerks peuvent provoquer des attaques réflexes et vous sauver la mise.

Les variantes

  • Le walking the dog en surface : En récupération très rapide, il est possible de faire évoluer son Wander en surface en donnant des coups de scions assez secs pour le faire évoluer en zigzag, c’est-à-dire en walking the dog. D’ordinaire réservée aux leurres de surface type comme le Sammy (Lucky Craft), cette animation se révèle très attractive sur les aspes et les bars. Pour la réaliser, commencez par ramener rapidement votre Wander en linéaire, puis imprimez de petits coups de scion de manière régulière. La difficulté consiste à trouver le bon rythme mais avec un peu d’habitude cela ne pose pas de problème. Le Wander 80 et le 95 se prêtent particulièrement à cette animation.
  • Le walking the dog sous la surface et entre deux eaux : il est possible de faire évoluer son Wander en walking the dog juste sous la surface voire entre deux eaux. Cette animation s’effectue en faisant une simple récupération linéaire lente ponctuée de twitchs réguliers. La difficulté est de trouver le bon compromis entre la fréquence des twitchs et la vitesse de récupération. Plus complexe à réaliser, cette nage est cependant si efficace qu’elle vaut le coup de s’y attarder. Je vous conseille de vous entrainer en eau claire pour trouver le bon rythme.
  • Le « mort manié » : toutes les  animations précédentes vous permettront de peigner les couches supérieures et intermédiaires. Mais il est également possible de pêcher plus en profondeur avec un Wander. Lancez et laissez le Wander couler jusqu’au fond. Imprimez ensuite un coup de scion. Le Wander remonte vers la surface. Laissez-le ensuite retomber vers le fond, en veillant à toujours bien garder votre bannière bien tendue. Cet aspect est primordial car c’est lors de la descente qu’a lieu la majorité des touches. La disposition des lests sur le bas du corps provoque une descente à plat du Wander qui oscille sur lui-même. Cette phase est particulièrement productive sur les brochets, bars et black-bass avec les modèles 80 et 95.

Voilà donc mes animations préférées pour le Wander. Pour finir, gardez à l’esprit qu’il est possible voire fortement recommandé de mixer ces différentes animations au cours d’un même lancer. Ces variations vous offriront le maximum de chances de provoquer la touche. Je vous souhaite le maximum de réussite au bord de l’eau. Mais avec un Wander au bout de votre ligne, je n’ai pas vraiment de craintes…

Raphaël Becker

L’Humpback Pointer 50 Watch – L’incontournable pour la truite

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 11:34 am April 20, 2015

Lors d’un dernier petit article, je vous avais présenté mes leurres préférés pour la truite. L’Humpback Pointer 50 Watch. Je tenais aussi à remettre à l’honneur ce leurre, un véritable 4X4 des eaux vives.

Avant l’ouverture de la pêche de la truite, je vous avais présenté ce leurre. Cette année encore, il n’a pas failli à sa réputation. Cette année, les eaux étaient froides, haute mais claires. C’est en pêchant les truites dans les parties les plus calmes en veillant à bien gratter le fond que j’ai réussi à les faire craquer. En effet, elles ne venaient pas attaquer le leurre lorsque celui-ci évoluait dans la couche d’eau supérieure. Il fallait bien raser le fond, voire même le « taper » pour déclencher la touche. Comme le leurre dur a la particularité d’être de type coulant, cela s’est donc fait tout naturellement.

Pour moi, ce fut véritablement le leurre qui s’est vraiment démarqué lors de l’ouverture de la truite. Pour ce qui concerne les coloris, je vous laisse en juger par vous-même mais je dois tout de même vous avouer que c’est avec le Mister Chartreuse Shad que j’ai obtenu les meilleurs résultats.
Je vous encourage donc à tester à votre tour l’Humpback Pointer 50 Watch qui est vraiment très efficace !

Christophe Lhamas.

C’est aussi la reprise en Mer !

Filed under: Salt Water — Tags: — admin @ 2:14 am April 16, 2015

Alors que certains se focalisent, à juste titre, sur l’ouverture de la truite, d’autres pensent déjà à la reprise de la pêche du loup et autres prédateurs marins. Retour sur le matériel et les leurres qui m’ont donnés d’excellents résultats l’an passé.

Les cannes

Tout d’abord, sachez que je pêche presque exclusivement du bord. J’utilise donc des cannes un peu plus longues que ceux qui pratiquent à partir d’une embarcation. J’utilise essentiellement deux modèles dont la renommée n’est plus à faire : la 771 XHF et la 871 XHXXF, toutes deux de marque Lucky Craft. La première est généralement dédiée pour la pêche à partir des plages ou dans les zones portuaires, surtout à partir du moment où il n’est pas nécessaire d’utiliser des leurres très lourds et de réaliser des lancers à grande distance.

La seconde est plutôt conçue pour pêcher dans une mer plus formée. Sa capacité à propulser des leurres de plus de 30 g et plus est d’ailleurs impressionnante !

Choix des leurres

Pour avoir tout de même testé une grande partie de la gamme de chez Lucky Craft (et il en reste encore), force est de constater que tous les modèle sont prenants, qu’ils soient souples, ou durs.

Les leurres souples

Les leurres souples sont aussi très efficaces en mer. Je vous recommande d’ailleurs tout particulièrement à ce sujet les Alive Shad et les Roboworm. Ce n’est pas la première fois que je vous parle de ces leurres car ils sont terriblement efficaces, c’est indéniable. Les Victory Tail et les Opti Shad restent aussi bien entendu des valeurs sûres sur les loups et les barracudas.

Les leurres durs

Les leurres durs n’ont rien à envier aux leurres souples. Et pour preuve ! Je peux vous assurer que les Flashminnow Slim comptent incontestablement parmi les incontournables au même titre d’ailleurs que les Flashminnow SP, MR ou TR. Ces poissons-nageurs possèdent un palmarès tout à fait incroyable à leur actif que ce soit en méditerranée, en Atlantique ou encore dans la Manche. Faciles à animer, les Flashminnow s’utilisent vraiment partout.

Parmi les leurres incontournables, les Pointer 65 S tiennent aussi parfaitement leur place. Ne vous fiez pas à leur petite taille, ces petits poissons-nageurs sont capables de grandes choses !

Pour finir, je souhaiterais aussi vous parler de l’EB-R 50 S qui s’utilise de la même manière qu’un leurre souple en pêchant d’ailleurs assez lentement.

Voila, vous avez un rapide tour d’horizon des leurres qui m’apportent généralement grade satisfaction. N’hésitez donc pas à les tester à votre tour au bord de l’eau !

Fabien Duran

Première sortie de la saison en mer

Filed under: Salt Water — Tags: — admin @ 2:12 am April 8, 2015

Après cette ouverture de la truite, j’avais envie de vous parler un peu d’autre chose d’eau salée. Je me suis récemment rendu au bord de la mer, histoire d’aller voir si les petites vieilles étaient de sortie !

Avec les températures qui remontent et le printemps qui pointe tout juste le bout de son nez, l’envie était trop forte pour moi d’aller faire une petite session en bord de mer. Je n’avais pas été à la pêche depuis le mois de décembre. Autant dire de suite que la tentation était vraiment importante. Je me suis rendu à Cosqueville accompagné de deux amis. Comme les rochers sont nombreux à la côte, il y a toujours moyen de faire quelques coups de ligne sympathiques. A marée descendante, j’ai prêté un tube Zoom (coloris Watermelon) à mon amie qui pêchait avec une canne Zoom Shaky Head Worm. C’est d’ailleurs elle qui a ouvert les festivités en attrapant le premier poisson de la journée. C’est toutefois lors de la marée montante que les choses se sont vraiment déclenchées. En effet, les touches ont été plus nombreuses bien qu’à cette période de l’année, il ne faut pas se faire trop d’illusion, la pêche reste très difficile. C’est en pêchant (une fois encore) avec des tubes de marque Zoom que j’ai eu le plus de touches. J’ai pêché avec ma canne Lucky Craft ESG 2 HXF qui est vraiment parfaite pour ce type de pêche. En tout cas, je vous assure que le coloris Watermelon s’est vraiment démarqué des autres. Je vous encourage donc à le tester à votre tour.

Je vous recommande aussi vivement de vous rendre en bord de mer pour découvrir ce poisson formidable. On parle effectivement toujours du bar ou du lieu jaune mais plus rarement de la veille. Cette dernière vous permettra de vivre de beaux combats, surtout si vous utilisez du matériel assez léger. Pour déclencher les touches, je vous recommande de bien gratter le fond et de pêcher, tant que vous pouvez, assez lentement. En revanche, pensez à faire toujours un ferrage très sec car elles ont la fâcheuse tendance à recracher le leurre à la vitesse de l’éclair !

Emmanuelle Legoy.

Revue de paquetage avant le départ pour Cuba

Filed under: Salt Water — Tags: — admin @ 2:06 am April 1, 2015

Comme de nombreux pêcheurs, j’ai un défaut : j’aime pratiquer différentes techniques très variées et ces dernières années, je dois dire que j’ai pris goût aux voyages de pêche et aux combats musclés. Très prochainement, je vais me rendre à Cuba. J’avais envie de vous faire partager le contenu de ma valise car certains leurres Lucky Craft seront du voyage !

Vous imaginez bien que dans ma valise, j’ai glissé quelques leurres, au cas où… Il serait bien évidemment dommage de partir si loin sans prendre avec soi de quoi taquiner les poissons. Il y a de nombreuses espèces qui me font rêver depuis longtemps tels que les Bonefishs et les Permits et autres poissons que je ne connais pas encore.

Parmi les leurres Lucky Craft que j’ai glissé soigneusement dans ma valise, je voulais en présenter un plus particulièrement : l’EB-R Shrimp 50S. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une imitation de crevette vraiment très réussie. Ce leurre imitatif devrait me permettre d’attraper quelques poissons du bord, notamment ceux dont l’alimentation est composée de crevettes. Ensuite, je voulais aussi revenir sur un leurre que j’ai beaucoup utilisé à Madagascar, notamment pour pêcher les Carangues GT : le Flashminnow Magma 190. Ces leurres sont vraiment très efficaces sur les prédateurs, notamment lorsqu’ils daignent monter en surface pour s’emparer d’un popper ou d’un stickbait.

Dès mon retour, je ne manquerai pas de vous raconter mon séjour à Cuba et surtout vous en dire un peu plus sur les leurres qui se sont démarqués. Les photos de cet article sont deux beaux clichés réalisés à Madagascar. J’espère que j’aurai l’occasion de vous en faire partager d’autres !

Romain Pappalardo.