GN carnassier du bord de Mantes la jolie

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 12:02 pm June 18, 2015

Pour la première compétition de l’année à Mantes la Jolie, Tom Bontempelli partage avec nous son expérience ! Découvrez dans cet article comment il a atteint la 3ème place du podium !

« Comme Raphael avait fini deuxième l’an dernier, c’est plutôt confiant que nous abordons cette date. Le matin, mon choix de secteur se porte sur un étang sur lequel Raphael a fait ses poissons l’an dernier. Malheureusement, suite à une légère incompréhension de certains compétiteurs qui sont partis en avance, je ne parviens pas à avoir le spot que je convoitais et décide donc de me rabattre sur un autre secteur qui m’a rapporté du poisson lors du pré-fishing. Malheureusement, seuls quelques poissons non-maillés viennent à l’épuisette dont une perche de 18 cm et un brochet de 45 cm. Soudain, je vois mon poste de l’autre côté du lac qui se libère et fais donc signe à mon binôme pour sprinter jusqu’à ce dernier. Arrivé sur place, ce sont trois perches de 38 cm, 33 cm et 21,5 cm qui viendront ouvrir mon compteur. J’attrape ces poissons grâce à ma fidèle canne Lucky Craft ESGII 771HXF qui me permet d’aller chercher ces poissons à plus de 40 m du bord.
Je suis deuxième du classement à la pause à 2 cm d’un brochet de 95 cm.

L’après-midi sera une traversée du désert, pour moi y compris, ce qui me permettra de conserver une place sur le podium mais de descendre à la 3ème à cause d’une perche capturée à la dernière minute.

Objectif atteint pour moi, le podium. Malheureusement, Raphael aura moins de réussite et ne parviendra à faire mordre qu’une perche de 20 cm.

Un grand merci à Fred GOYER et toute l’équipe CARNOKILL pour cette belle journée ! Merci également à Lucky Craft, Green Devil, Franck S, et Crazy Fish pour leur soutien.

A bientôt pour la suite de la saison ! »

Tom

L’irrésistible Humpback Minnow

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 11:58 am June 17, 2015

Pour ma toute première journée pêche de la truite, j’ai testé l’Humpback Minnow et quelques autres leurres de chez Lucky Craft. Comme toujours, les fameux leurres japonais ont été largement à la hauteur de mes attentes.

Cette année, contrairement à mes habitudes, j’ai décidé de pêcher la truite en début de saison. J’ai alors opté pour plusieurs leurres tels les Pointer 45, Humpback Minnow 50, Slender Pointer 67 et Area’s. J’étais donc bien armé pour aller défier dame truite !

Ce jour là, je suis arrivé au bord de l’eau 0 5H 30 du matin après avoir fait une heure de route. Autant dire que la nuit fut courte. J’ai retrouvé sur place des amis et en attendant l’heure légale d’ouverture de la pêche, nous avons discuté entre amis de ce fameux poisson qui je ne connais pas encore très bien car j’ai eu l’occasion de le pêcher seulement à quelques reprises. De plus, je ne connaissais pas le coin et j’ai d’ailleurs appris que la pêche au leurre était assez difficile. En effet, sur le parcours choisi, l’eau est peu profonde et le courant est assez soutenu mais il y a quelques zones un peu plus profondes. Mes amis ont décidé de pêcher aux vairons maniés, quant à moi, j’ai commencé par utiliser le fameux Humpback Minnow. Ce leurre a vraiment l’avantage de bien nager dans la rivière. J’ai alors effectué mon premier lancer en veillant à lancer mon leurre bien en amont. Je l’ai ensuite récupéré assez rapidement en gardant toujours le contact avec le leurre et en le faisant bouger comme s’il s’agissait d’un petit poisson en train d’agoniser. C’est finalement moi qui ai eu le premier mot en attrapant la première truite de la journée. Il s’agissait d’une truite arc-en-ciel. Ensuite, j’ai décidé de pêcher avec un Area’s en 1/8 oz. J’ai opté pour ce petit spinnerbait car j’avais repéré une zone très intéressante à prospectée qui était bordée par des racines. J’ai alors ferré ma deuxième truite de la journée. Cette fois, il s’agissait d’une fario mais malheureusement, après quelques secondes de combat, elle s’est décrochée. Mes amis ont eux aussi attrapé quelques truites mais il s’agissait que de truites arc-en-ciel.

Après une bonne petite pause déjeuner, nous sommes tous partis sur un autre secteur. Cette fois, la pêche s’est montrée plus difficile car à nous tous, nous avons seulement réussi à prendre une truite. Je dois tout de même vous confier que j’ai décroché le plus beau poisson de la journée en plein après-midi en pêchant avec un Area’s 1/16 oz à contre-courant. Mon frein était trop serré et l’erreur fut fatale.

En tout cas, que ce soit l’Humpback Minnow ou encore l’Area’s, ces deux leurres m’ont démontré que l’on pouvait compter sur ces modèles. Je vous recommande donc de les utiliser, si ce n’est pas encore fait…

Kong-Pheng Ly.

Nouveau record, nouveau défi !

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 11:55 am June 16, 2015

Malgré une journée qui avait mal commencé, j’ai battu mon record avec un brochet de 1,26 m ! Dans cet article je vous explique comment.

Après une ouverture chaotique en 2nde catégorie au lac de St Cassien où je n’ai capturé qu’un mini sandre et un mini brochet, les seuls poissons de la journée alors que nous étions 3 sur le bateau, le weekend d’après je me suis placé en 8ème place avec mon coéquipier Bruno Vandenaweel pour la 1ère manche du Défi Sud 2015 au Gardon de Montfrin avec une perchette de 20 cm. Il faut dire que cette manche était particulièrement difficile car seulement 8 équipages sur 32 se sont classés.

Quelques jours plus tôt pour ce jeudi de l’Ascension, David et moi avions prévu de nous rendre au lac du Salagou mais aux dernières nouvelles, un concours avec 100 bateaux aurait lieu là-bas donc changement de programme. David m’a proposé le lac d’Esparron, nous n’avions jamais pêché sur cette étendue d’eau réputée pour ses brochets et ses difficultés à les leurrer.

On se fixe le RDV entre 6 H 30 et 7 H afin d’y être vers 9 H, mais petit problème de réveil ce matin-là. Je sursaute de mon sommeil à 7 H passée de quelques minutes et appelle aussitôt le copain pour le prévenir de mon contretemps. De bon matin il a explosé mes tympans mais c’est de ma faute… Désolé de t’avoir mis en forme ! En arrivant chez lui, je m’excuse à nouveau et lui dis que pour me faire pardonner je lui ferais une chinoiserie dans la journée !

Nous voilà partis et après 2 H de route dans la bonne humeur, nous sommes guidés par Bruno (mon coéquipier) qui connait les lieux mais nous fait faire un détour de 30 minutes. Bruno est Hollandais, mais je crois qu’il est plutôt Belge car pour lui tous les chemins mènent à Esparron ! La matinée commence mal et pour certains il vaut mieux rester couché.

Enfin nous découvrons ce magnifique lac aux eaux turquoises des gorges du Verdon. Une fois sur l’eau je dois avouer que c’est déstabilisant de pêcher ce lac où le fond à un dénivelé très important. Tous les quarts d’heure je change mes montages, têtes plombées (poids, forme…), types de shads, palettes, lipless, etc… Je n’arrive pas à trouver l’association qui me donnera confiance, d’autant plus que les sondeurs nous marquent des échos que dans 20 à 25 m. Nous suivons nos intuitions et prospectons ces profondeurs depuis les 30 m. Je fini par trouver le leurre qui m’inspire confiance et commence vraiment à pêcher, un soft swimbait de 70 g de couleur bleu/mauve, son poids le fait couler assez rapidement mais pas trop et sa densité à planer lors des animations que je lui inflige m’a tout simplement plu. L’heure de manger sonne dans nos estomacs et ni David ni moi-même n’avons perçu la moindre touche ni l’ombre d’un suivi d’un carnassier. Après un bon repas fait maison et une chaleur accablante la sieste nous guette, mais hors de question de nous laisser tenter alors nous remontons dans le bateau et quittons la berge tranquillement.

Alors que David bidouille ces cannes, je vois au sondeur qu’il y a déjà 20 m sous nos pieds, le side allumé j’aperçois comme un tas de rochers à quelques mètres du bateau dans plus de 25 m de fond, je m’assois à l’arrière le temps que David se décide et lance mon swimbait vers cette direction. Mon leurre touche le fond et je donne un coup sec et ample pour le dégager de toutes herbes qui auraient pu s’y coller et le ramène de 3 tours de manivelles et le laisse redescendre. Je refais de même et le laisse redescendre. Un léger toc se fait ressentir à la descente, mon temps de réaction n’a pas été des plus rapides mais dans le doute je ferre et ressent une lourdeur que je remonte de quelques mètres : c’est un peu trop lourd pour être des herbiers alors je ferre une 2ème fois et dis à David « Poisson »… et c’est vrai ! David qui peine à me croire face à un rush se jette sur l’épuisette, le poisson me fait un super combat : coup de tête, rush sur rush mais fini par faire surface, WaouWaouuu ! Il est métré ce brochet, il a un bide énorme ! Dans un 1er temps je l’estime à un 1,10 m mais David voit plus, il rentre une 1ère fois dans l’épuisette mais celle-ci se déboite et le poisson repart de plus belle et sonde. J’arrive à le remonter, David à remboiter l’épuisette : on l’épuise, il nous fait une chandelle et parvient à ressortir et regagne du fond, tourne autour du bateau, me donne du fil à retordre, mais la 3ème fois aura été la bonne, il se rendra de lui-même complètement épuisé. David le maintien dans l’eau le temps que je fasse de la place pour dérouler le mètre que je déroule à 1,20 m, David le pose dessus mais la queue de ce poisson dépasse encore alors j’ajuste le mètre à 1,26 m. Je remesure à 2 reprises et toujours 1,26 m. Je pousse des cris de joies, j’embrasse David et lui dit : voilà ma chinoiserie dont je te parlais !

Dans l’euphorie, on prend quelques clichés de ce superbe poisson sans trop tarder pour le relâcher au plus vite car il faisait très chaud à ce moment-là. Nous n’avions même pas pris la peine de bien le contempler.

Par ce magnifique poisson, notre mésaventure du matin se fait pardonner et oublier. Et grâce à lui, pour le reste de la journée, nous parviendrons à trouver l’animation, le colorie qui fait la différence mais aussi la profondeur car j’étais parvenu à refaire 1 brochet et 2 pour David.

Un remerciement à David d’avoir été malgré tout, patient ce matin-là mais aussi pour avoir immortalisé mon nouveau record.

A+ !!!

Koko

Le Flat CB D-20 à l’honneur !

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 11:53 am June 10, 2015

La météo chaotique nous a poussé à reculer de deux journées notre ouverture du brochet. C’est donc le 03 mai que Jeff et moi nous nous sommes rendus sur le magnifique lac de Vassivière dans le Limouzin. Comme toujours, cette sortie s’est montrée particulièrement palpitante.

Le lac de Vassivière est tout simplement magnifique. Mon copain Jeff connait particulièrement ce grand terrain de jeu car il a souvent l’occasion de le pêcher. Pour tout vous avouer d’ailleurs, Jeff est moniteur et guide de pêche sur ce lac. Autant dire de suite que j’étais en très bonne compagnie pour aller titiller les becs de Vassivière. Pour ma part, j’avais emporté mes cannes Lucky Craft TLC Collection qui sont parfaites pour en découdre avec les brochets du lac. La journée n’a pas commencé pour le mieux car nous n’avons pas enregistré la moindre touche lors de la première heure de pêche. Les poissons n’étaient effectivement pas en activité sur les bordures. Nous avons alors décidé de nous concentrer sur les plateaux en pêchant au crankbait. Pour cela, j’ai utilisé ma canne LCM 701MHF-BDS en fibre qui est vraiment parfaite pour pêcher avec ce type de leurre dur. Mon choix s’est alors rapidement tourné vers un Flat CB D-20 (coloris Summer Craw). En prospectant les haut fonds, ce leurre m’a permis d’enregistrer assez rapidement ma première attaque de la journée. Le brochet n’était pas très gros mais au final, qu’importe, je pêche toujours en no-kill pour le plaisir et surtout dans le but d’avoir quelques touches dans la journée. Pour moi, l’intérêt de la pêche au leurre est bien d’arriver à déclencher des attaques, surtout lorsque les carnassiers sont apathiques. Tout au long de cette journée, les poissons ont été pêchés avec ce combo magique. C’est en récupérant le Flat CB D-20 assez lentement que j’ai réussi à déclencher quelques touches et attraper quelques brochets au cours de cette journée. Une fois encore, ce crankbait s’est largement montré à la hauteur de mes espérances.

Je vous recommande donc de le tester à votre tour en eau douce si ce n’est pas déjà fait. Les jours comme ceux que nous avons vécus, ce leurre peut vraiment vous sauver la mise !

Jérôme Giraud.

Les Flash Minnow ont encore frappé !

Filed under: Salt Water — Tags: — admin @ 11:51 am June 8, 2015

Situé dans le Nord de la France, plus précisément à Boulogne sur Mer, Romain Pappalardo, guide de pêche nous a envoyé quelques news sur la situation actuelle. Les bars sont de sortie. En voici la preuve !

« Le début de saison a été assez compliqué bien que nous ayons eu tout de même quelques poissons à la côte. Alors que les eaux se réchauffent – doucement mais surement – les bars restent assez timides. On sent pourtant bien que la saison ne va pas tarder à commencer très sérieusement. Récemment, c’est en pêchant dans très peu d’eau (entre 1,5 et 3 m) que nous avons réussi à en pêcher quelques-uns notamment grâce au fameux Flash Minnow suspending.

Ces leurres durs sont vraiment très efficaces et très faciles à animer. Pour preuve, une fois que vous aurez lancé le leurre à l’endroit souhaité, récupérez-le, canne basse en donnant des coups de scions de temps à autre de manière à lui imprimer une petite accélération imitant ainsi un poissonnet en train de prendre la fuite. N’hésitez jamais à marquer une pause, comme le leurre est de type suspending, il va rester en place à la même profondeur. Redémarrez toujours assez sèchement votre récupération. Attention, si un poisson est posté derrière le leurre, c’est souvent à ce moment précis que l’on réussit à déclencher l’attaque. Ses billes bruiteuses émettent une bonne sonorité ce qui permet de mettre en éveil les sens des carnassiers et notamment des bars. Le fait de donner des coups de scions assez secs permet aussi de faire claquer les billes situées à l’intérieur du corps du leurre.

En tout cas, je peux vous assurer que le Flash Minnow est vraiment le leurre qu’il faut avoir dans sa boîte. Monté avec des hameçons piquants et robustes, ce leurre compte incontestablement parmi les incontournables pour pêcher les bars.
Je vous souhaite à toute et à tous un excellent début de saison en espérant que vous prendre un maximum de plaisir au bord de l’eau ou sur l’eau !

Romain Pappalardo.

Une journée au réservoir du Moulin Autier

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 11:49 am June 3, 2015

La pêche au réservoir n’a pas toujours bonne réputation en France, alors que la pêche n’est pas toujours aussi facile que l’on ne le croit ! Pour faire simple, je vous présente quelques leurres Lucky Craft idéals pour attirer les truites en réservoir no-kill. Succès garanti !

En début de saison, j’aime aller pêcher les truites en réservoir no-kill : ces réservoirs présentent beaucoup d’avantages, mais aussi quelques inconvénients. Je vais vous raconter une jolie sortie réalisée dans un réservoir près de Limoges.
Ayant envie de pêcher – pour changer de d’habitude – je me suis rendu au réservoir du moulin Autier pour pêcher des truites. C’est un site très bien aménagé pour la pêche de loisir, il possède un bassin avec des truites trophées, les sensations sont garanties ! Mais pour cela, il faut réussir à déjouer la vigilance des poissons, et ce n’est pas une mince affaire.

Je décide d’utiliser mes Pointers 65 SP : ces leurres de petite taille me permettent de tromper mes partenaires de jeu. En effet, dans les réservoirs les truites ont plus l’habitude de voir passer des leurres de taille réduite. Un Pointer 65 SP coloris Laser Rainbow Trout fait en général très bien l’affaire. Pour preuve, au 3ème lancé, une magnifique truite fario de 56 cm arrive dans mon épuisette. Après quelques lancés, j’ai pris 2 autres truites fario, une de 42 cm et l’autre de 59 cm.

Le vent du nord se lève et les touches se font de plus en plus rares. Je décide de changer de réservoir pour tester le leurre coulant Bevy Vibration 40, coloris Japan Matt Tiger. Celui-ci est parfait pour les poissons de réservoir, il est très brillant et il crée une concurrence alimentaire. En alliant ce coloris aux vibrations particulières du Bevy Vibration 40, l’effet est impressionnant : c’est un véritable aimant à truites ! Il m’a permis de faire une série de 12 truites arc-en-ciel en 30 mn, la plus grande mesurait 43 cm. C’est aussi un leurre idéal en début de saison pour les perches et les sandres au printemps.

Voilà encore quelques leurres que vous allez pouvoir tester et qui ne quitteront plus vos boîtes…

Jérôme Giraud

La canne idéale pour les bass et brochets !

Filed under: Fresh Water — Tags: — admin @ 11:45 am June 1, 2015

J’ai testé la canne TLC 761 HXF Carolina et depuis, je ne m’en sépare plus ! Laissez-moi vous raconter plus en détail le pourquoi du comment !

Aujourd’hui, je vais vous parler d’une canne qui ne me quitte jamais depuis que je l’ai acheté. Que vous pêchiez le bass au jig, en texan ou en Carolina, ou encore le brochet avec de gros shads à palette ou des gros spinnerbaits, elle saura répondre à vos attentes !

Je vais vous parler de la canne TLC 761 HXF Carolina de chez Lucky Craft. Comme son nom l’indique, elles est conçue pour pêcher en Carolina, mais pas seulement ! Ses 2,30 m et sa réserve de puissance vont vous permettre de venir à bouts des carnassiers les plus coriaces ! Pour la pêche du bass en texan et au jig, sa longueur et sa résonance en font une canne hors-pair, et elle vous permettra de sortir avec autorité les poissons des zones recouvertes par les herbiers. Précise, elle vous aide à déposer votre leurre là où bon vous semble !

Mais cette canne a bien d’autres atouts dans son manche ! En effet, ces dernières années, la pêche du brochet au shad à palette et au gros spinnerbait a prouvé son efficacité ; c’est justement là que la TLC 761 Carolina est redoutable ! Avec ses 2,30 m, il y a de quoi satelliser vos leurres sur les grandes étendues d’eau. Il ne faut pas oublier que c’est une canne conçue pour lancer, sa réserve de puissance est étonnante ! Pour ma part, elle m’a permis de battre mon record de brochet en 2014, avec un poisson de 1,23 m. Inutile de vous dire qu’elle a pourtant été malmenée !

Si votre budget ne vous permet pas de posséder une canne bass et une canne brochet, alors je n’ai qu’un conseil à vous donner : foncez ! Elle ne vous décevra pas !

Antony Desnoyer