L’arrivée d’une nouveauté dans la gamme Lucky Craft est toujours un évènement, l’assurance de rajouter dans sa boîte un outil aussi efficace qu’agréable à utiliser. Encore une fois, je n’ai pas été déçu en recevant dans ma boite à lettre le tout nouveau Surf Pointer 115 MR. Je me suis donc empressé de tester ce p’tit nouveau. Croyez-moi, je n’ai pas mis bien longtemps à être conquis !
De type coulant, le Surf Pointer 115 MR est vraiment très stable, même lorsque la mer est formée ou que l’on prospecte des courants puissants. Ce leurre est aussi très facile à lancer. Son excellent transfert de masse constitué de trois billes internes facilite vraiment les lancers à bonne distance, même avec un bon vent latéral. Voici donc un gros avantage qui ne manquera pas de retenir l’attention de ceux qui pratiquent du bord comme en bateau. Sa facilité à atteindre de bonnes distances est aussi un bon atout pour prospecter les chasses sans avoir trop à les approcher en bateau. Ce leurre est aussi disponible en 8 coloris minutieusement sélectionnés ce qui permet ainsi aux pêcheurs de pouvoir pallier à l’immense majorité des conditions généralement rencontrées en cours de pêche. Ce leurre est doté d’une petite bavette ce qui lui permet d’évoluer, suivant la manière dont vous allez l’animer, entre 0,8 et 1,5 m sous la surface. Justement, parlons maintenant des animations car ce leurre est plutôt étonnant. Dés les premiers lancers, je me suis rendu compte qu’il sait tout faire. Que ce soit en simple récupération linéaire, en faisant des « twitchs » ou des « jerks », le Surf Pointer 115 MR est à l’aise dans toutes les conditions. Ce leurre a aussi l’avantage de pouvoir s’utiliser par les débutants qui l’animeront au mieux très rapidement. Rien d’étonnant vous me direz, il s’inscrit dans la parfaite lignée des Pointer.
Pourtant, tout n’était pas acquis, et loin de là… En effet, j’avais déjà réalisé de belles sorties en pêchant à gratter avec les Opti Shad 4” dans des fonds de 15 m. Autant dire que pêcher avec des jerks si tôt dans la saison était plutôt risqué. Et bien, le Flash Pointer 115 MR m’a vraiment prouvé qu’il avait tout d’un grand. En effet, il m’a permis d’attraper un joli bar de 77 cm dés sa première sortie. Je me trouvais alors sur une chasse de lançons repérée grâce aux oiseaux présents sur la zone et que j’ai pu la prospecter tout en restant à bonne distance grâce à sa bonne capacité à atteindre de grandes distances. Le coloris du jour était Golden Shiner, un coloris très efficace qui imite parfaitement la robe des lançons. Ce fut donc une entrée en fanfare pour le Surf Pointer 115 MR qui devrait me réserver encore bien des surprises !
Vous savez donc ce qui vous reste à faire…
Raphaël Becker
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Les mois de mars et avril sont généralement très intéressants pour traquer les gros black-bass. En effet, l’eau se réchauffe doucement et les gros sujets sont généralement les premiers à entrer en pleine activité. Une occasion à ne pas rater !
Dès que les premiers rayons de soleil apparaissent, l’eau commence à se réchauffer lentement et les gros black-bass sont généralement les premiers à ouvrir les festivités. Une occasion donc rêvée pour tous les afficionados de la pêche du bass qui recherchent les sensations fortes. Attention, la pêche des carnassiers est fermée dans le domaine public. Vous n’aurez donc pas d’autre choix qu’aller pêcher dans des plans d’eau privés, là où vous avez l’autorisation du propriétaire. Il y a déjà deux semaines, j’ai faits ma première sortie de pêche au black-bass. Le soleil n’était pas au rendez-vous mais avec l’hiver plutôt doux que nous avons eu, la température de l’eau était à 13° C. Autant dire que j’étais gonflé à bloc car une telle température d’eau à cette période de l’année est plutôt prometteuse. Les poissons que j’ai attrapé le matin ont été faut en pêchant au jig dans les bois morts. Je n’ai pas attrapé de gros black-bass le matin car le plus gros mesurait 30 cm. En revanche, les choses se sont vraiment mises en place l’après-midi comme quoi quelques degrés de plus peuvent vraiment tout changer à la pêche. La pêche au spinnerbait et plus précisément au RV-S 120 s’est vraiment montrée la plus efficace. Pour preuve, j’ai réussi à leurrer trois gros bass (54 cm, 53 cm et 50 cm). Autant dire de suite qu’en matière de sensations fortes, j’ai plutôt été bien servi. Pour ce qui est de la canne, j’ai pêché avec ma canne casting Magnum 661 MHXF qui a vraiment parfaitement fait l’affaire. Cette canne très sensible et dotée d’une action parfaite permet de réaliser des lancers très précis. Sa puissance permet aussi de brider d’autorité les gros bass pour éviter qu’ils ne se réfugient dans les obstacles.
Avec l’ouverture de la pêche des carnassiers qui approche maintenant, je vous encourage à votre tour à tester les RV-S 120 qui sont vraiment très attractifs. Leur palette brasse un bon volume d’eau ce qui en fait un véritable leurre de prédilection pour pêcher les black-bass et les brochets !
Fabian Viscontini.
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Les eaux s’éclaircissent et force est de constater que la pêche au leurre s’améliore de semaine en semaine. En tout cas, ces derniers temps, j’ai trouvé un petit cocktail détonnant à savoir ma canne Funk Star Justace et quelques Humpback Minnow. Et bien… ça fonctionne plutôt pas mal !!
Comme je ne suis pas du genre à me prendre trop la tête, je dois vous avouer que j’aime bien me rendre à la pêche avec peu de matériel. Jouer le dromadaire dans les champs avec des sacs partout sur les épaules n’est pas vraiment mon truc. Moi, j’aime bien les choses simples. D’ailleurs, quoi de plus simple ? Une canne et quelques leurres durs… J’ai la chance de pouvoir aller à la pêche de temps en temps, faire quelques petites sessions éclaires. Ces derniers temps, j’ai vraiment constaté qu’un leurre se démarquait vraiment des autres à savoir : le HUMPBACK MINNOW. Ce leurre est vraiment incroyable et très efficace. De la taille d’un petit vairon, les truites n’en font qu’une bouchée. Je tiens toutefois à préciser que je pêche uniquement les rivières sauvages, là où on ne trouve pas de truite arc-en ciel. Ce qui complique donc tout de suite les choses, mais je peux vous assurer que c’est pourtant bien dans ces conditions qu’on peut vraiment se rendre compte de l’efficacité ou non d’un leurre. En tout cas, le Humpback Minnow ne me déçoit pas. Facile à lancer et à animer, ce «bébé nageur» a vraiment l’avantage de pouvoir être utilisé par une personne qui souhaite débuter ou qui pratique occasionnellement. Comme je pêche uniquement pour me faire plaisir, je veille toujours à bien écraser mes ardillons sur les triples. De cette façon, les poissons se décrochent plus facilement et surtout repartent dans d’excellentes conditions.
Pour ce qui concerne la canne Funk Star, là encore, je dois vraiment dire que je prends un max de plaisir à l’utiliser. Très fine et très sensible, son blank de grande qualité retranscrit la moindre petite touche. Je vous encourage d’ailleurs à tester cette canne, c’est vraiment impressionnant à quel point elle est sonore. Je l’utilise aussi beaucoup pour pêcher les perches et les chevesnes.
En tout cas, comme vous aussi, inutile de vous dire que je brûle d’impatience de traquer les carnassiers ! Je ne manquerai de vous tenir informé de mes premières sorties lorsque la saison bâtera son plein !
En attendant, je vous souhaite pleins de bonnes choses et surtout… un max de touches !
Emmanuelle Legoy
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Ce ne sont pas les leurres qui manquent et je comprends que ce ne soit pas toujours facile de vous y retrouver. Pour essayer de vous faciliter dans votre choix, j’ai décidé de vous dévoiler aujourd’hui mes trois leurres préférés pour pêcher les truites. Je vous propose donc de vite passer aux choses sérieuses !
Tout d’abord, je tiens à préciser que je pêche uniquement sur des secteurs situés en tête de bassin. Je pêche donc uniquement les truites sauvages. Les trois leurres ci-dessous sont ceux qui me donnent le plus fréquemment des résultats. Inutile de faire durer le suspens, les voici :
Le HUMPBACK POINTER WATCH 50
Ce leurre bénéficie d’une superbe oscillation lors des temps de pauses. Come il est coulant, il permet de prospecter facilement les zones un peu plus creuses. De plus, son profil légèrement plat lui donne une nage agressive. Il se propulse très facilement et permet d’atteindre des zones très intéressantes. Mes coloris préférés sont : Brook Trout, Engaged-Super Rainbow et BGR.
Le B’FREEZE 48LB et 78S
Grace à sa bavette, ce leurre atteint très rapidement sa profondeur de nage. Sa nage très incitative permet de faire bouger des poissons qui sont généralement calés au fond. Ces deux tailles me permettent de couvrir deux zones de pêche bien différentes. Le B’Freeze 48LB est parfait pour les zones soumises au courant. Le second, le 78S est idéal sur les secteurs qui recèlent des plus gros poissons. Mes coloris préférés sont : NC Bora, Ghost Minnow et Pearl Goujon.
L’AERA‘S 5.2 g (3/16)
Ce mini spinnerbait est un leurre vraiment incroyable. Pour un petit spinnerbait, force est de constater qu’il se lance vraiment très facilement. De plus, il est aussi très efficace. Il faut dire que la palette fait beaucoup car elle brasse un bon volume d’eau. De ce fait, les truites repèrent très facilement et rapidement ce leurre. L’Area’s reste aussi parfaitement en place lors des phases de relâchés. Ce leurre compte incontestablement parmi les incontournables qu’il vous faut avoir dans votre boîte à leurres ! Mes coloris préférés sont : NC Bora, Brook Trout, Pearl Goujon.
J’espère que ces trois leurres vous donneront maintenant entière satisfaction lors de vos prochaines sorties !
Christophe Baudot
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Le soleil brille depuis plusieurs jours, les températures sont plus que clémentes pour la période et l’envie d’en découdre avec les diables verts est trop forte. Tant pis pour les truites, ce dimanche ce sera mission pré-spawn !
C’est donc avec un ami de la région bordelaise que nous avons décidé de partir pêcher en float tube sur une gravière privée pour voir si les gros bass étaient sortis de leur léthargie hivernale. Pour moi, il n’y a rien de plus efficace que le crankbait à cette époque de l’année. J’ai aussi pris une canne flipping avec un Super Hog de marque Zoom (Watermelon Red) monté en texan, histoire d’aller taquiner les poissons au plus profond du « cover ». C’est en tout cas la première technique qui m’a permis de prendre LE premier poisson de la saison. C’est en peignant méticuleusement un poste peu profond avec un LC 2.5 que j’ai réussi à leurrer ce poisson. Bastien m’a indiqué ensuite que la baie suivante était aussi très prometteuse. Je dois reconnaitre qu’il n’a pas eu tord puisque dés le premier lancer, j’ai enregistré une touche timide. J’ai toutefois ferré et je me suis retrouvé « pendu ». Les premières secondes de combat m’ont fait penser à un poisson tout juste maillé. J’ai rapidement changé d’avis lorsque celui-ci s’est approché de la surface de l’eau. Là, croyez-moi, c’était du solide ! Le combat a ensuite continué sous le float tube dans une eau cristalline. C’est là que je me suis aussi rendu compte que le poisson était piqué au ras de la gueule. Je dois avouer que j’ai vraiment tremblé de peur. C’est à ce moment que j’ai vraiment apprécié d’utiliser une canne fibre de verre (Lucky Craft TLC 701 MHF BDS) qui limite les décrochages et qui m’a permis de sortir ce poisson de l’eau sans encombre. Il s’agissait d’un superbe black-bass de 53 cm aux couleurs somptueuses qui a ouvert le bal pour 2014. Une fois de plus, la pêche au crankbait a porté ses fruits. Ce n’est pas un hasard car la pêche au crank est très intéressante et efficace. Je dois vous avouer que j’attache une grande importance au choix du coloris. Les tonalités rouges sont souvent très efficaces et ce n’est d’ailleurs pas Randy Howell qui a remporté le Bassmaster Classic qui dira le contraire. Je vous recommande donc d’essayer à votre tour le LC 2.5 dans les coloris TO Craw ou Disco. Son profil trapu et sa bavette carrée en font le modèle idéal pour ce type de pêche.
J’espère que ces quelques conseils vous servirons pour vos prochaines sorties mais gardez bien à l’esprit que d’ici quelques semaines, les bass vont entamer leur période de reproduction, il sera donc temps de les laisser tranquille jusqu’à fin juin.
Antony DESNOYER
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